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Guérison des blessures & traumatismes

Quelle pression ressentez-vous au quotidien ? Prenez une minute…

Stress

« Si je me débrouille bien, j’aurai le temps de faire les courses en sortant du boulot, juste avant de récupérer les gosses. Du coup le repas sera prêt quand les leçons auront été révisées. Et je pourrai envoyer ce fichu mail après la douche des enfants. »
Bon, ça, ça n’est que la partie visible de l’iceberg. Et bien entendu, les enfants n’y sont pour rien !

Ce qui est en jeu, pour chacun d’entre nous, c’est la pression permanente que nous subissons, ou que nous choisissons de vivre, appelée aussi « charge mentale ».

Qu’est-ce qu’on trouve sous l’iceberg ? Petit aperçu.

« Si je me débrouille bien » implique que la responsabilité des évènements vous incombe, et si le plan ne se déroule pas comme prévu, vous vous êtes mal débrouillé.e. Autrement dit, que vous n’avez pas été à la hauteur, que vous avez failli à votre mission (pourtant simple ! Trois courses à faire !).

« Faire les courses en sortant du boulot et avant de récupérer les gosses » représente dans les faits trois pans de votre vie essentiels (travail, foyer, enfants) qui vont s’enchaîner sans temps pour vous (imaginez la tension sous-jacente), sans transition (ah si, peut-être les embouteillages, qui vous permettront probablement d’envoyer le fichu mail !), et à flux tendu (le décalage de l’un d’eux entraîne de fâcheuses conséquences pour l’autre).

Bien entendu, la problématique est la même pour le reste de la journée.

Quels sont les facteurs de stress et de charge mentale ?

Récapitulons.

Nous avons tout d’abord le jugement tapi dans l’ombre, prêt à dégainer afin de juger de notre capacité à être la bonne personne, le bon parent, le bon employé, etc.
À chaque instant de chaque journée anodine (sans enjeu particulier en apparence), nous allons avoir l’occasion de nous juger.

Ensuite, nous avons la contrainte temporelle de nos agendas remplis à bloc qui nous met à flux tendu en permanence. Chaque évènement ou action s’enchaîne sans battement ni temps mort aux suivants, nous empêchant de trop réfléchir, de nous recentrer, de repenser le moment précédent ou celui à venir, de nous préparer, de savourer, de profiter, d’être détaché.
SI vous échouez, vous êtes morts.

D’autre part, remarquez que le temps qui n’a pas été pris pour nous sera une nouvelle occasion de culpabiliser et de nous juger. « Tu aurais dû faire cela, tu n’aurais pas dû parler si longtemps à untel, tu aurais dû prendre un moment pour toi, d’ailleurs, ça fait des semaines que tu n’as pas médité-fait du yoga-passé un moment agréable avec les enfants ou les amis-lu un livre ».

Non seulement nous avons respecté le programme, mais en plus nous nous retrouvons frustré.es, déçu.e.s (le cahier de charges ne nous a donné qu’une satisfaction éphémère et incomplète)… sans bien avoir mis le doigt sur ce qui manquait à notre bonheur, ou ce qui n’aurait pas totalement fonctionné.

La pression conséquence de nos pensées ?

Ce qui ne fonctionne pas ? C’est très simple. Vous vivez un enfer !
J’exagère pensez-vous ?
Dites-moi seulement, comment qualifierez-vous une vie dans laquelle se cumulent la pression permanente, les objectifs à atteindre dans les moindres faits de votre quotidien, la course perpétuelle après le temps, les enjeux de taille derrière chaque action, la déception même une fois les objectifs atteints, la frustration récurrente, l’incompréhension de votre propre vie, de ce qui pourrait changer, de ce qui est à entreprendre pour cela, la négation de ce qui fait l’être humain dans sa dimension sociale, relationnelle ou spirituelle, et j’arrêterai là ma liste par trop fastidieuse… et totalement déprimante !

La question qui nous intéresse donc est : quelle pression je ressens dans mon quotidien ?
Il est urgent et nécessaire de se concentrer sur notre ressenti, ce qui se cache derrière une journée banale, même « réussie », et d’expliquer enfin pourquoi nous avons souvent ce sentiment de peur, de frustration, ou de charge mentale trop forte pour nous.
L’identification du problème principal (le jugement permanent, ou la culpabilité par exemple), puis le travail du thérapeute pour remonter à la source de ce problème permet de se débarrasser de toutes les pensées inconscientes qui ruinent nos efforts. Bien souvent, une seule pensée racine se trouve être la source de toutes les complications.

Et vous ? Avez-vous conscience de ce qui se trame tout au long de la journée ? Percevez-vous ces pensées jugeantes, ces doutes à votre encontre, cette frustration indicible ?

La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’identifier et d’éliminer ces pensées, et de se recréer à neuf !

Ne tardez plus, prenez votre santé en mains, croyez en la guérison, quelle qu’elle soit, et donnez-vous les moyens d’aller mieux. Vous avez le pouvoir de guérir, prenez-le.